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Le référendum pour la Constitution européenne: une réponse simple à une question difficile
Ce soir, la chaîne de télévision spécialisée en cerveaux disponibles met à la disposition du chef de l’état son antenne. Il va donc pouvoir faire son show en toute quiétude en comptant sur la bienveillance des animateurs people qui l’entoureront pour faire monter l’audimat.

Mais cela sera-t-il suffisant pour empêcher le Non de l’emporter dimanche 29 mai lors du référendum pour la Constitution européenne ?

A tous les réfractaires de la pression médiatique désireux de s’informer avec intelligence sur cet enjeu d’importance, je vous invite à vous connecter sur le site de France Culture.

L’émission Travaux Publics de Jean Lebrun datant du 30 mars ayant pour thème le référendum est toujours en ligne. Il faut impérativement l’écouter. Car pour une fois, ce ne sont pas des hommes politiques qui débattent avec leur langue de bois mais des juristes dont les arguments sont passionnants.

Pour ceux qui n’auront plus la chance de l’écouter, je vous propose la synthèse suivante :

D’abord, pourquoi faut-il un traité constitutionnel ?
L’Europe est actuellement engluée dans plusieurs traités (Rome, Maastricht, Nice) qui sonnent la confusion. Il s’agit d’éclaircir tout cela avec un nouveau texte.

Quelles sont les premières mesures de ce traité ?
Election d’un président européen par le parlement pour deux ans et demi.
Nomination d’un ministre des affaires étrangères.
Création d’un service d’actions extérieures.

Est-ce une constitution ou un traité ?
Pour les juristes, c’est un traité. En effet, des états se réunissent pour adopter un fonctionnement institutionnel.
Dans la réalité, on dira de cet enfant en gestation qu’il ne sera ni une fille ni un garçon mais un être hermaphrodite. Il s’agit d’un texte entre le traité et la constitution.

Qui a écrit ce projet de constitution ?
Ce sont à la fois des élus parlementaires, des représentants des états et des experts juridiques qui ont travaillé sur le texte.

Le référendum est-il une décision définitive ?
La constitution ne sera pratiquement pas modifiable mais il existe des possibilités de révision.
Les Français sont les rois pour modifier la constitution, contrairement aux Anglo-saxons, par exemple, qui n’ont procédé à aucun changement depuis bien longtemps.

L’Europe sera-t-il un état ou une fédération ?
Les juristes sont unanimes sur le sujet : nous nous engageons vers quelque chose que nous sommes en train d’inventer. C’est une construction originale. D’où les angoisses actuelles parmi les citoyens et la confusion des politiques.
L’Europe ne sera pas un état car il ne disposera pas de souveraineté, mais sera davantage qu’une organisation internationale comme l’ONU.

Peut-on parler de peuple européen avec ce traité ?
Les peuples européens ne disposent pas encore de culture ou d’histoires communes.
L’Europe leur permet de mettre en commun certaines compétences, dans le domaine économique notamment.

Y aura-t-il une primauté du droit communautaire ?
Ce droit communautaire existe dans la constitution française depuis 1958. Mais nos juges sont toujours en train de débattre sur les exceptions.
Les états seront toujours souverains dans le domaine de l’éducation, par exemple.
L’absolu est relatif quand on aborde le sujet.

Le traité peut-il remettre en question les particularités de notre laïcité ?
Dans le texte, il est écrit que la liberté d’exprimer sa religion est fondamentale. Les particularités de notre laïcité lesquelles constituent le ciment de notre société peuvent être remises en question.

La France sera-t-elle affaiblie politiquement avec ce traité ?
Il y a deux réponses possibles à apporter. Une réponse juridique et une réponse politique.
Pour la juridique, la répartition des voix au conseil des ministres passe pour la France de 9% à 11%. Pour la politique, depuis cinquante ans, aucune grande décision à Bruxelles n’a été prise sans l’accord de la France. Cela ne changera pas.

Pourquoi a-t-on inclus les politiques communautaires dans le traité ?
Cela a pour but de clarifier la politique européenne. L’Europe s’est construite sur la base de réalisations politiques. Une fois que ces politiques sont énoncées, il faut donc les mettre en œuvre.

Comment seront prises les décisions économiques ?
Le traité permet de prendre plus de décisions à la majorité qualifiée. Il suffira que 55% des états représentant 65% de la population s’entendent pour qu’elles soient appliquées.

Y aura-t-il une harmonisation fiscale en Europe ?
La fiscalité a été exclue de la majorité qualifiée. Il y a aujourd’hui trop de diversifications dans les politiques fiscales mises en place dans chaque pays. En Suède, on paie beaucoup d’impôts pour bénéficier de services publics compétents. Au contraire de l’Angleterre où les impôts sont très faibles, mais les services publics déficients.

Le social est-il oublié dans ce traité ?
Les juristes affirment le contraire. Le texte fait mention des droits fondamentaux du citoyen mais sans aborder le droit au travail.
L’Europe est née pour ouvrir un marché, c'est-à-dire faire jouer la concurrence sur une plus grande échelle que celle à l’intérieur de chaque pays. Cette concurrence doit entraîner des avantages dans le quotidien du citoyen.

Au sujet de la concurrence
La concurrence, pour les économistes, est un instrument de liberté au service des consommateurs. Les règles du libéralisme économique sont les seules que nous connaissons aujourd’hui pour créer de la richesse.
L’Europe ambitionne d’être l’espace économique le plus performant du monde.

Et les services publics ?
On ne parle pas de services publics dans le traité mais de services d’intérêt général. Il est écrit qu’ils doivent être garantis dans l’espace européen. Ce que l’on ne trouve pas dans la constitution française.
Le traité entraînera un certain nombre de coopérations notamment judiciaires et politiques.

Conclusion
L’Europe veut proposer au monde un autre modèle.
Elle ne veut plus être seulement un marché économique mais aussi un acteur important sur le plan international.
Il ne faut plus perdre de temps car le monde va être profondément modifié dans les années à venir.
Ecrit par Raskolnikov, le Jeudi 14 Avril 2005, 18:36 dans la rubrique "Actualités".


Commentaires :

  jessicaH
jessicaH
14-04-05
à 19:00

Il est temps....

Je trouve ton condensé plutôt pas mal!
Par contre de maniére globale je trouve le texte manquant d'ambition dans bons nombres de domaines.Je l'aurais voulu plus incisif et innovant.Mettant en place les jalons pour l'édification d'une Europe unie (et pas seulement dans le commerce).
Bref je le trouve un peu palot tout de même.
Je crois qu'il serait possible de proposer une meilleure version...mais bon en politique...enfin on se sera compris ;) mdr^^

  Raskolnikov
Raskolnikov
15-04-05
à 07:02

Re: Il est temps....

Merci JessicaH pour tes commentaires.
J'en profite pour signaler que cet article "lache" ne s'engage pas dans le camp du Oui ni dans le camp du Non.
Il a pour but, pour ceux qui le lisent et qui sont encore indécis, d'être aiguillés vers une bonne source d'information afin de faire leur choix électoral en toute liberté.

  ImpasseSud
ImpasseSud
15-04-05
à 09:50

Comment définir cette synthèse ? Je ne trouve pas l’adjectif adéquat, mais elle ne répond en aucun cas au but d’élucidation qu’elle annonce. Je me demande même si ceux qui ont participé à cette émission se le proposaient véritablement, car même s’il s’agit d’une discussion faite par des juristes, cela n’empêche pas qu’un juriste, suivant son orientation politique, mettra en évidence ou dans l’ombre les points qui l’intéressent.

1. Ici, je ne vois aucune explication ou mise en évidence des absences de clarté qui caractérisent ce « traité constitutionnel » et qui, par conséquent sont également à l'origine des indécisions, ni même au sujet de ce titre même où on a allié deux mots aux significations bien différentes, du genre la chèvre et le chou. De toute façon, comme par hasard toutes les questions, à part la première, démontrent que l’ensemble des questionneurs le conçoit déjà soit comme l’un, soit comme l’autre. Il s’agit d’un « autre modèle » conclut-on !?!?

 

2. Le ton y est franchement Franco-français, comme si on confinait les indécis ou les partisans du NON dans cette tranche de Français qui ont peur que

 

3. Tous les points cruciaux y sont consciencieusement laissés sous silence, comme celui relatif à la répartition des pouvoirs législatifs et exécutifs, ou quand on liquide, sur une plaisanterie de coq, la question relative à l’impossibilité effective de révision.

 

4. On y prend nettement partie pour la libéralisation de l’économie, n’hésitant pas à affirmer que « Les règles du libéralisme économique sont les seules que nous connaissons aujourd’hui pour créer de la richesse ».

 

Cette « non-explication » est franchement en faveur du OUI. Il n’y manque qu’une grande claque dans le dos pour vous dire : « Allez, ne vous faites pas de soucis. Ceux qui l’ont faite savent ce qu’ils font ».

 

Pour sûr qu’ils le savent ! Autrement, au lieu de ne laisser filtrer que les prises de bec au sujet des racines religieuses, ils nous auraient donné des explications avant le 29 octobre dernier. Le paradoxe de ce référendum c’est que ce sont les plus convaincus de la nécessité d’un OUI à l’UE, comme moi, qui vont peut-être être contraints à voter NON, par sens de la responsabilité, par honnêteté envers le futur commun d’échange et de fraternité qu’ils s’imaginent, qu’ils désirent profondément pour l'UE de demain, alors qu’on ne nous propose qu’un traité au service de l'économie libérale, bien emballé dans du papier doré.

 

Je suis d’accord qu’il ne faille pas perdre de temps pour la réaliser, mais à n’importe quel prix ?


  jessicaH
jessicaH
15-04-05
à 19:15

J'adhére

Oui,C'est un texte qui manque de trop de jalons de fondations pour construire une Europe forte et Unie.
Et selon les diverses critiques faites sur l'emission de TF1 d'hier soir, aucunes reponses n'a été apporter...
"au secours au secours....ils ont noyés le poisson!" mdr...
Je trouve également qu'un minimum de bon sens , d'investissement et d'honneteté permettrait de faire un meilleur texte!

  Raskolnikov
Raskolnikov
16-04-05
à 10:52

Re:

Nous sommes là dans le coeur du débat. Ce traité est un véritable labyrinthe. Comme un texte religieux, selon la foi qui nous habite, on y interprète du sens ou pas.

As-tu écouté l'emission chère Françoise?
Les juristes ,avec leur vocabulaire, ont le mérite d'essayer d'apporter un peu de clarté. Et l'ambition de mon article était d'être le plus fidèle possible à leurs arguments. Cet investissement me permet aujourd'hui d'affiner mon opinion pour être prêt le jour du vote.

Bien sûr que nous souhaitons tous, nous les Français, voir se réaliser une Europe à notre image. Mais n'est-ce pas un combat perdu d'avance? N'oublions pas que cette constitution concerne vingt-cinq pays qui ont chacun leur propre histoire. Il faut faire des concessions, comme dans une vie de couple, pour vivre pleinement un projet d'amour. Cela n'est pas facile.

Que le Non l'emporte ou pas, dans tous les cas, l'Europe libérale avancera des pions.

  jessicaH
jessicaH
16-04-05
à 15:27

hum

Là c'est encore un point important.
Cette sensation d'impuissance que "nous" electeurs ressentons. On se dit "bah aprés tout c'est pas avec notre voix qu'on va changer le monde."
Je deteste me sentir comme ça...je revendique des idées qui sont guidées par le bon sens et un minimum de sagesse et je vois que beaucoup pensent comme moi...et pourtant se sont les idées imbéciles qui passent au gouvernement et créer des texte de loi.
Il serait bon de s'inspirer de nouveau du modéle grec de la democratie qui impliquait veritablement les citoyens dans tout le processus politique et non simplement en ligne de fin (comme nous le sommes actuellement) pour juste constater qui ou quoi passera la ligne d'arrivée en premier.

Par contre je dirais que L'europe c'est plus qu'un mariage (oui parce que ça fait beaucoup 25 dans un lit :p^^).Je dirais que c'est une sorte d'entreprise commune à 25 actionnaires.Et le seul objectifs serait le meilleur pour tous.Mais ,comme dans les mariages, ou même simplement les cohabitations ils faut savoir se montrer diplomate, accepter les concessions (pour le bien général)et savoir rester ouvert...Mais comme tu l'as dis, c'est 25 membres qui ont des histoires différentes....Mais là pour le coup on devrait se baser sur ce qu'on a en commum juste pour fonder l'Europe.

Enfin moi je fais pas confiance au sondage et je ne sais pas encore tout à fait ce que je vais voter...je vais relire le texte et puis on verra....

  ImpasseSud
ImpasseSud
17-04-05
à 22:24

Re: Re:

Cher Raskolnikov,
Tout d'abord, sur la Toile, je préfère qu'on utilise mon pseudo :-).
Non, je n'ai pas écouté l'émission, je me suis fiée à ta synthèse. J'ai déjà passé tellement d'heures à lire, à m'informer et à débattre qu'il faut que j'en garde un peu pour le reste. :-))))))

Moi ce que je déplore chez les partisans du OUI, - et Chirac n'a pas échappé à cette règle -, c'est que leur argument-clé se borne aux deux points suivants : d'une part que le NON isolera la France et, d'autre part, vu que nous sommes 25 il est impossible de revoir quoi que ce soit. Mais ce ne sont pas des arguments! S'il en est ainsi, pourquoi nous demande-t-on notre avis ? Pourquoi a-t-on institué un référendum si les gens ne peuvent pas dire NON ?
Et je suis d'accord avec Jessica : s'il est évident qu'une cohabitation à 25 demandera des concessions, je ne pense pas qu'on puisse comparer le cas présent à une vie de couple. Et même si on poussait la comparaison jusque là, trouverais-tu normal que tous les pouvoirs ou presque soient concentrés dans les mains d'un seul des partenaires (la Commission), et que l'autre n'ait d'autre choix que de dire, de temps en temps, qu'il n'est pas d'accord (le Parlement) sans toutefois avoir la possibilité de concrétiser ce désaccord ou de changer quoi que ce soit dans la relation du couple? N'est-ce pas l'exemple typique d'un couple voué à l'échec dès le départ ?

Ne vaudrait-t-il pas mieux revoir ce «traité constitutionnel», en le raccourcissant notamment aux principes essentiels qui sont la caractéristique d'une «constitution», avant que les frictions puis le mécontentement de l'ensemble des citoyens européens, sans plus aucun moyen de s'exprimer, de participer, ne fassent éclater l'UE ?

Si tu as un peu de temps libre, je te propose de lire l'analyse suivante : Une mauvaise constitution qui révèle un secret cancer de notre société démocratique, qu'on a déjà proposée son mon joueb, mais qui, aujourd'hui, a également été reprise par Jacques Généreux sur son site.

Je serai heureuse de savoir ce que tu en penses, mais surtout, j'aimerais qu'elle remue un peu, - gentiment, cela va sans dire :-) -, ton opinion que je sens très fataliste. Est-ce que je me trompe ?
Bien amicalement.


  isa
17-04-05
à 23:17

Re: Re: Re:

AFP du 16/04 :

[ Bernard Bot, le chef de la diplomatie des Pays-Bas, où la population sera consultée sur la Constitution le 1er juin dans la foulée des Français, a en revanche plaidé pour que "tous les 25 pays" de l'UE "s'expriment sur ce traité".

"Seulement après, à la fin de tout le processus", les 25 pourront déterminer "qui a été contre, qui a été pour, pour quelles raisons certains pays se sont prononcés contre et si nous pouvons, dans la mesure où cela s'avèrerait nécessaire, changer quelque chose à ce traité", a-t-il estimé. ]

Encore un argument bidon du OUI qui vole en éclats. On les entend partout les partisans du OUI, dont Chirac récemment, qui nous jurent une renégociation impossible. Force est de constater que certains partenaires européens n'ont pas du tout la même analyse...

Ici notre partenaire batave fait tomber d'un coup deux mensonges du oui-ouisme français ; d'une part il nous dit que la France ne sera pas le seul des 25 à dire NON (Chirac par exemple nous avait pourtant assuré que nous serions "le (seul) mouton noir" et d'autre part il est tout à fait possible d'amender cette Europe. Une Europe moins bureaucratique, plus démocratique et respectueuse des libertés des états et des peuples européens.

Encore un coup dur pour le OUI frileux ; osez l'Union européenne du changement et du progrès, votez NON !

  Yann Germain
18-04-05
à 01:31

Quelques analyses

Bonjour,

J'ai vu que vous parliez de la Constitution Européenne sur votre Blog. J'ai donc pensé que cela pourrait vous intéresser de lire ces quelques analyses qui expliquent les raisons de voter "non". N'hésitez pas à les envoyer à vos amis pour les convaincre de voter "non" :

* Analyse très complète de la Constitution Européenne
http://www.france.attac.org/a4337

* Réalité de la Constitution Européenne
http://www.politis.fr/article1083.html

* Un petit quizz sympa
http://www.local.attac.org/attac91/quizz

* La Constitution en 20 questions / réponses
http://www.societal.org/docs/voterNON.pdf

* Analyse de la Constitution par thèmes
http://www.humanite.fr/popup_print.php3?id_article=394737

* La face cachée cachée de la Constitution Européenne
http://humanite.presse.fr/journal/2004-12-14/2004-12-14-452991

* Appel de 200 hommes politiques, syndicalistes et citoyens contre la Constitution Européenne ultra-libérale
http://www.appeldes200.net

* La directive Bolkestein : l’enfant naturel de la Constitution Européenne
http://humanite.presse.fr/journal/2005-03-17/2005-03-17-458631

* Courts textes qui expliquent pourquoi voter "non"
http://yonne.lautre.net/article.php3?id_article=1003




Bonne continuation,



Mr Yann GERMAIN
Courriel + MSN : ya.germain@laposte.net
Site Internet :
http://membres.lycos.fr/yanngermain/Accueil.html

  jessicaH
jessicaH
19-04-05
à 14:44

Re: Quelques analyses

Moi j'avais écris un article sur ce referendum justement et je me rend compte que je suis aussi larguée qu'il y a presque 1 mois (article écrit le 21 Mars 2005)

L'europe en question...


  anti-constitution-elle-ment
29-05-05
à 01:20

Re: Il est temps....

Demain dimanche, deux beaux cadeaux à offrir ;

- le premier pour ma maman adorée ;

- le second - un NON utile à la France et à l'Europe. Un NON qui sauvegardera une France plus que millénaire dans une Europe qui ne connaîtra pas la constitutionnalisation de l'échec mais au contraire une dynamique européenne du changement. Demain, dire NON à l'échec, c'est le seul vote utile et positif, le seul vote qui rendra l'Europe efficace!